infos musicales

plutôt que d'aller dans les faits divers et autres, il paraît utile d'ouvrir un sujet pour les infos, concernant la musique. j continue à propops de timbo...:

brainmagazine a écrit:

"Avec ce félin blond, la France tient peut-être son premier
entertainer, ce type d'artiste complet jusque-là envié aux Américains.
Chanteur-danseur-auteur-compositeur, M Pokora grandit en s'inspirant du
professionnalisme en vigueur outre-Atlantique " prévenait son site
officiel. Et voilà que ça se confirme... Selon une rumeur qui n’en
finit d’enfler, c’est Timbaland en personne qui devrait produire le
prochain album de notre wannabe Justin Timberlake national. Après avoir
décliné l’invitation de Michael Jackson, le tycoon de la pop semble
décidé à mettre son génie à l’épreuve. Parviendra-t-il à réaliser
l’impensable : nous faire tous danser sur un tube de Pokora ? Les paris
sont ouverts…

!!!

tout est dans le nom du magazine.

Vos avatars à la suite c'est le gag visuel de la matinée!!!

c'est toi le gag visuel!

Ptit entretien de A-Trak avec "Cerveau Magazine" (cf haut de la page) rien de réellement inédit, mais parcours intéressant quand même. à se demander ce que j'ai fait de ma vie jusqu'à présent... bref

Citation :

A-Trak – All That Scratchin’ Makin Me Rich

Il
n’a que 23 ans et pourtant son nom circule depuis quasiment dix ans
dans le monde du turntablism, catégorie scratches techniques. Pas
étonnant d’apprendre aussi que son grand frère n’est autre que Dave
One, producteur du groupe underground canadien Obscure Disorder, et
moitié du groupe funk Chromeo. Vous allez donc tout savoir sur Alain,
jeune prodige du scratch, DJ des tournées de Kanye West, de passage en
France pour nous montrer ses routines et aller au centre Pompidou voir
l’exposition William Klein.

Le Début

« J’ai commencé le deejaying à l’âge de 13 ans, au début c’était des
essais de scratches. Ça faisait un an que j’écoutais du hip-hop. Avant
j’écoutais des classiques rock comme les Pink Floyd. C’est après des
albums comme Check Your Head des Beastie Boys que je suis passé du rock au rap, et que j’ai commencé
à écouter Pharcyde, A Tribe Called Quest… le ‘golden age’ du hip-hop :
1994. Je pense que si j’ai commencé à scratcher, c’est parce que mon
frère, qui jouait dans un groupe, avait un ami qui venait à la maison
et qui faisait un peu de scratch. C’est peut-être une des premières
fois où j’en ai entendu. Evidemment, je n’avais pas d’équipement, mais
mon père avait une platine et j’avais trouvé une technique avec un
bouton de l’ampli qui coupait le son ! Mon frère avait 17 ans et
sortait en boîte de nuit, et quand il voyait des DJs faire un scratch
un soir, il me le ‘chantait’ le lendemain au réveil. Et moi, j’essayais
de trouver comment le reproduire, c’était ma source d’inspiration !
J’avais aussi une cassette de DJ Jazzy Jeff & The Fresh Prince, où
il y avait une routine live lors d’un show. J’écoutais et j’essayais de
recréer, je n’avais jamais vraiment vu de gens pratiquer… »

Un Pseudo

« Mon frère faisait du graffiti, et je me cherchais un nom, alors que
je savais que je ne taggerais jamais que sur des feuilles dans ma
chambre. Le A, c’est de mon prénom, Alain, et quand j’ai commencé le
scratch, je me suis décidé pour A-Trak. C’était le bon nom au bon
moment, et ça ne veut tellement rien dire qu’il n’y en aura jamais
d’autres ! Je me rappelle que, quand j’étais plus jeune, il y avait
deux Kid Koala en Australie et un Craze en Floride, qui jouait du
breakbeat, un de ces genres de style électronique que je ne comprends
pas ! Il y a le tribal-tech-house ou l’ambient-acid-house, mais le
style breakbeat, je n’ai jamais compris ce que c’était !»

Les Premiers Flares

« Le magazine Rap Pages a sorti un numéro spécial DJ avec des
interviews des Invisibl Skratch Piklz et de tout le monde. C’était
début 96, les DJs inventaient sans cesse des nouvelles techniques,
c’était juste avant la grosse explosion du scratch. J’avais acheté, en
vinyle, la compilation de Return Of The DJ,
avec des morceaux de Babu, et je jouais le disque au ralenti pour
essayer de comprendre comment on faisait un scratch. Le flare (une technique de scratch ndlr)
venait de faire son apparition, ils en parlaient dans le Rap Pages, et
je me souviens du déclic au moment où j’ai compris ce que c’était,
grâce à un morceau de Babu. J’ai mis un ou deux mois avant de réussir à
le faire. Je voyais juste la combinaison de mouvement qu’il fallait
effectuer pour avoir ce son. Ensuite j’ai rencontré un DJ de Montréal,
qui s’appelle Didier, puis Kid Koala. Ils me montraient des vidéos, et
c’est comme ça que j’ai appris. Tu regardais les compétitions et tu
essayais de comprendre les techniques. Kid Koala, lui, m’a montré des
petits trucs, qui paraissent tellement simples aujourd’hui ! Par
exemple, c’était difficile de trouver de bonnes feutrines, Koala était
un gars très débrouillard et il achetait du feutre dans des magasins de
textile ; il le découpait lui-même, et il m’en avait donné une paire,
c’était un énorme cadeau à l’époque ! C’est comme pour transporter tes
cellules. Aujourd’hui, il y a des boites qui existent, mais à l’époque,
il n’y avait rien. Koala bricolait ses boites, il prenait des
récipients où tu mets tes restes de nourritures, et il collait ses
cellules avec des essuie-tout pour ne pas abîmer les diamants. Pour ce
qui est de la pratique, je cherchais des techniques dans le sous-sol de
chez moi, et je les montrais à mon frère et il me disait ce qui sonnait
bien ou non. Mon frère était mon repère objectif, moi j’étais plongé
dans mes 3-4 heures quotidiennes d’entraînement…»

Q-Bert

« Un jour, je me suis inscrit au DMC de Montréal, il fallait juste
donner une cassette pour y participer. En y allant, je savais que je
serais bien placé. J’étais jeune et j’apprenais tout en même temps.
C’était facile d’apprendre les nouvelles tendances, les DJs plus âgés
n’avaient pas autant de facilité. J’ai gagné le DMC de Montréal,
ensuite je me suis entraîné pour le DMC canadien, et à ce moment-là,
j’ai rencontré Q-Bert, qui venait faire un show en ville. C’était mon
idole, et le tourneur nous a booké ensemble. On a joué et le lendemain
on a tourné dans un documentaire qui s’appelle Hang The DJ. On est resté en contact par email. Q-Bert venait de sortir des vidéos qui s’appelaient Turntable Tv,
il y faisait des routines avec les Scratch Piklz, ils faisaient les
cons et se déguisaient. C’est devenu des objets cultes, tout le monde
regardait ça, tout le monde faisait les mêmes jokes. Un jour, le manager de Q-Bert m’a envoyé un email en me disant qu’il voulait que je sois dans le prochain Turntable Tv,
ça a été un moment déterminant pour moi. Je ne comprenais pas ce que je
pouvais leur apporter, je pensais que dans chaque ville il y avait
quelqu’un comme moi. Je regardais des vidéos, j’écoutais des disques et
j’essayais de reproduire ce que j’entendais… Q-Bert était juge au DMC
canadien, et j’ai gagné. Il m’a demandé de participer aux projets des
Skratch Piklz c’est à ce moment là que les gens ont commencé à entendre
parler de moi. Quand je suis arrivé à la finale DMC, tout le monde
attendait le nouveau Scratch Piklz. A l’époque, le DMC avait beaucoup
plus d’impact que maintenant, car il n’y avait que cette compétition.»

Invisibl Skratch Piklz

« A l’époque, le groupe comptait Q-Bert, Short Kut, Mixmaster Mike,
Flare, D-Style… On a commencé à travailler ensemble, j’étais membre au
même titre qu’un autre, je suis allé faire des cassettes avec eux.
L’été 96, j’ai passé une semaine à San Francisco, et on a enregistré
ensemble là-bas. Tout le monde m’a accueilli à bras ouvert. Quand j’ai
fait mon DVD, je me rappelle que Short Cut et D-Style m’ont accueilli
comme le nouveau du crew et j’ai fait directement une cassette avec
D-Style et deux cassettes avec Q-Bert. Après un an, ça n’était pas
facile de continuer à bosser ensemble, car j’habitais à 5000 kilomètres
des autres ! Je ne les voyais pas très souvent, je commençais à faire
plein de compétitions, eux avaient plus ou moins arrêté cette phase.
Ensuite j’ai rencontré Craze, et j’ai intégré The Allies.»

Obscure Disorder

« J’ai commencé à travailler avec Obscure Disorder en 96. On allait à
la même école, et mon frère produisait leur son. Ils ont fait leur
première démo en studio, et j’ai fait les scratches. Il y avait des
scratches sur tous les morceaux. En 97, on a fait une maquette pour
sortir un maxi et on n’avait pas forcément un label qui nous
correspondait. C’était l’époque du hip-hop indépendant avec Rawkus,
Company Flow et Fat Beats qui était le cœur de tout ça. On a réussi à
sortir le maxi chez Fat Beats, via notre label AudioResearch. Je
voyageais souvent, et je rencontrais les promoteurs. Donc je
m’organisais avec eux et je revenais faire des shows avec Obscure
Disorder, maintenant que je travaille avec Kanye, je vois que tout ça
était une bonne formation ! Tout ce que j’apprenais était vraiment un
effort. Dans la scène des compétitions, peu de DJs travaillaient avec
des groupes, et je souhaitais vraiment développer des scratches sur des
morceaux. La référence c’était DJ Premier, avec des techniques simples
qui matchaient tellement parfaitement que personne ne peut les recréer,
et les faire sonner comme lui.»

Le Mix & La Sélection

« Depuis cinq ans, je ne fais plus de compétitions. J’ai commencé à me
concentrer de plus en plus sur des sets qui allaient plus loin que des
routines. En 97, je faisais des shows de vingt minutes, et depuis
quelques années, les promoteurs veulent des shows d’une heure. J’ai
donc commencé à me pencher sur le mix et la sélection. J’ai appris à
faire des shows qui plaisaient à plus de monde, au point que Kanye West
m’a engagé. Je me concentre sur des mix avec des morceaux pas
uniquement rap, mais aussi electro et funk. En 99, quand j’écoutais les
Hot Boyz avec mes amis et que Lil’Wayne avait 13 ans et qu’il n’avait
pas mué, on trouvait ça cool, mais quand je faisais un show, il fallait
jouer Gangsta. Si je mixe un morceau de rap de 120 bpm, avec un vieux
titre electro, puis de la booty-bass et du Daft Punk, tout est relié au
hip-hop d’une façon ou d’une autre, au moins par le mix. Il faut juste
qu’il y ait une cohérence, je ne veux pas faire de l’éclectisme pur.
C’est ça que le iPod a amené à la culture de la musique : d’un coup
tout le monde avait un catalogue de deux cents chansons qui vont des
80’s au rock, et dans chaque style il y a deux trois morceaux phares et
tout le monde écoute les mêmes !»

Innovations & Technologie

« Peanut Butter Wolf passait des reprises cheap de Michael Jackson dans
ses mix, ça se rapproche de ce qui ce fait maintenant. Un peu comme Kid
Koala qui a commencé à mixer des disques de polka avec des beats. J’ai
du regain d’intérêt pour les sets avec les mash-up (fusion de deux morceaux axu styles très différents ndlr),
c’est arrivé à un moment où il ne suffisait plus de surprendre les gens
avec la sélection elle-même, il fallait un set innovant. En plus
aujourd’hui, la technologie a progressé. Tout le monde utilise Serato
et Final Scratch. Tu utilises des vinyles spéciaux qui sont reliés à
ton ordinateur, tu peux contrôler une chanson qui est dans ta
collection de mp3, et tu peux la scratcher. La musique à laquelle tu as
accès pour tes sets est multipliée puissance 10 000. Tu peux aussi
jouer ton propre beat, fait le matin, et scratcher dessus le soir. Tout
le monde s’est retrouvé avec une grosse sélection, donc les DJs ont été
forcés à faire des sets plus créatifs. Tu ne peux plus te démarquer
avec des morceaux rares car tout le monde les a !»

Bientôt l’Album…

« Mon album sera Hip Hop bien sûr, ça dépend aussi de ce que tu entends
par Hip Hop ! La moitié des morceaux sont des featurings, du rap
traditionnel, et l’autre moitié, ce sont des instrumentaux. Toute la
production est faite à partir de scratches, ça reste l’élément central
de tous mes beats. Je veux que sur une chanson avec un MC, on entende
ma présence, que ce soit un morceau d’A-Trak avant tout. Le danger,
c’est que ça sente la compilation : mon beat dark, mon beat club… J’ose
espérer que l’élément scratch présent soit l’unité entre les sons, que
ça reste du A-Trak.»

Texte et photo : Sebastien Charlot.

ci-dessus le jeune prodige des platines présentant sa boîte tutup à cellules

pas d'image pas de lecture

cerveau magazine avec sébastien charlot. ha ha.

los 40 principales a écrit:

El mega-productor musical Timbaland ha
afirmado ante los medios algunos detalles de cómo será el nuevo álbum
de Madonna, que se espera para finales de año. Según sus propias
palabras “será una trabajo muy caliente, y se parecerá mucho al sonido
de Justin”, en referencia al joven cantante americano, que también
participará en el proyecto discográfico de la reina del pop.


Por REDACCIÓN
/los40.com
Madrid
(10/08/2007)




Como ya anunciamos en los40.com, el nuevo y esperado trabajo de
Madonna llegará a finales de año. Este nuevo álbum, que algunos rumores
apuntan que podría llamarse Candy shop, se acercará más al hip hop y r&b que a la última línea marcada por el Conffesions on a dancefloor.
Pese a contar con el mismo productor, Stuart Price, las colaboraciones
ya confirmadas de cantantes como Pharrel Williams o Justin Timberlake
son claros ejemplos del estilo que se ha marcado la diva como meta.


El afamado productor y cantante Timbaland, que ha colaborado en los
cinco temas que la artista ha grabado con Justin Timberlake, adelantó
recientemente en una entrevista que Madonna “es fantástica. Hemos
vuelto a escuchar su álbum y es un disco muy caliente”, y que este
nuevo proyecto “se acercará” al sonido del cantante de Memphis.


Asimismo, el productor ha afirmado que seguirá trabajando con la diva a partir del próximo mes. La reina del pop
tiene previsto acabar en breve los últimos temas que faltan para poder
lanzar el nuevo disco a finales de este año, y realizar, de este modo,
una extensa gira mundial en el verano de 2008.

en gros, timbaland va donner au prochain album de madonna les mêmes sons que ceux appliqués à "future sex/lovesounds". le disque comportera également des prods de pharrell en plus de stuart price (déjà producteur du confessions on a dancefloor). le disque sortira d'ici la fin de l'année et une tournée est prévue pour l'été 2008 (en espérant enfin obtenir une date en suisse....)

le prochain celine dion j'ai lu aussi il me semble..

> Céline se lance dans le hip-hop <

la cover est deja leakée:

Tu souhaites te lancer dans une carrière hollywoodienne? Tu as la carrure de Christopher Wallace? Tous tes potes t'appellent Biggie? We can rendez vous at the bar around 2, ou alors va sur ce site:

http://www.foxsearchlight.com/notorious/

faut qu'ils appellent tekilatex!

faut juste le tremper dans du chocolat avant...

déjà vu, mais pas en 83, avant hier j'crois. sinon big up pour l'effort sur la forme. sérieux. photos dans le texte c'est encore mieux, mais bigup quand même tavu.

ouais, j'avais lu ca ailleurs, en moins long avec plus d'images.

découverte d'inédits de pistes de Biz Markie, Big Daddy Kane, "Top Shelf 8/8/88" miracle ou hoax!?

New York Times a écrit:

The rumors swirled all summer: a hip-hop El Dorado, a treasure trove of
lost recordings by old-school greats like Big Daddy Kane and Biz
Markie, had been discovered in an abandoned storage locker in New
Jersey.

Then, in August, an album called “Top Shelf 8/8/88” was issued in
Japan. Supposedly a collection of never-before-released recordings from
1988, it came with a back story that was even more elaborate than the
rumors. And as the music spread on the Internet, skeptics set blogs
ablaze: was it a hoax? The album’s liner notes told this
story: An unidentified New York hip-hop aficionado scavenging through a
storage locker near Hoboken, N.J., discovered a box of studio reels.
The only clue to their contents was a name scribbled on a label: “Fab
Five Freddy,” the hip-hop impresario who was host of “Yo! MTV Raps” in the 1980s.
According
to the story, the reels turned out to be recordings from hip-hop’s
fabled golden era, taped at a studio called Top Shelf in a basement in
the East Village of Manhattan. The reels were supposedly lost during
the Tompkins Square Park riots of 1988, and the studio later shut down.

Built on loops of classic soul songs and with rap that is at
least four times faster than what is usually heard on the radio today,
“Top Shelf” is peppered with references to Michael Dukakis, the Pontiac
Fiero and the first “Die Hard” film. But why, as fans wrote online, do
some of the supposedly teenage rappers sound hoarse and winded? And how
come nobody has stepped forward and claimed to be one of the “anonymous
Top Shelf producers” credited with the album’s excellent productions?“I
wasn’t expecting all this Internet action to take place,” said Benjy
Grinberg, the owner of Rostrum Records, the Pittsburgh label that will
release “Top Shelf” this fall. He said the story was true, adding: “I
love reading these hip-hop heads go back and forth and pick apart the
lyrics. To be honest, I like the doubts.”
The “Top Shelf” dispute
is the third major controversy over rediscovered hip-hop recordings
this year. Paul Winley Records in Harlem issued two discs said to
feature routines from Afrika Bambaataa’s late-1970s performances. They
are billed as sequels to Mr. Bambaataa’s famous “Death Mix” album, but
as many listeners have pointed out, the style of performance and the
quality of selections do not seem to match those of their predecessor.
Also
this year, a British label called Golden Reaal issued “Live Convention
77-79,” supposedly a prequel to two rare early-1980s rap compilations.
While some dispute the recording’s authenticity, it has been nearly
impossible to debunk the elaborate back story. Golden Reaal has said
that the rediscovered mixes were lost to a robbery in the early 1980s
but recovered in 2004 from — sound familiar? — an abandoned storage
facility in New Jersey.
The interest in these obscure
recordings, which aren’t going to make anybody rich, surpasses mere
nostalgia. They suggest a yearning for the craft and ethics of a bygone
era, before hip-hop became big business.

A Wikipedia
entry for Top Shelf Recording Studio has been listed since May 2005.
But the entry does not list a street address for Top Shelf, and Fab
Five Freddy, the executive producer of the album, won’t reveal it. In
an interview conducted via e-mail messages, he said that it was in
Alphabet City near Tompkins Square Park and belonged to an old friend
who was an audio engineer and a marijuana dealer.
“Because of
the nature of his business, even though it was a long time ago, I don’t
want to put it on blast like that,” Fab Five Freddy wrote. But
several hip-hop producers who were active in 1988 said they had never
heard of Top Shelf. The producer Howie Tee has worked with Chubb Rock
and Special Ed, two artists on “Top Shelf,” but he does not recall
their mentioning the studio. Dante Ross, a rap producer who grew up on
the Lower East Side, also said he did not recall the name. Given
that the story is set during a period better known for great music than
for reliable bookkeeping, and that many of the era’s stars say they
barely remember what they did 19 years ago, the truth is hard to ferret
out. Grandmaster Caz appears with Melle Mel on a song called “The
Battle is On,” and although Top Shelf is mentioned in the lyrics,
Grandmaster Caz has no recollection of when or where it was recorded.
The year 1988 “was kind of a blur for me,” he said.
Brian
Coleman, author of “Check the Technique,” an oral history of hip-hop,
said: “People who really know the deal from back then could poke holes
in this fairly easily. But that would be a misguided thing to do.
People should be celebrating the fact that someone did this.”
Mr.
Ross agreed. “If it’s a hoax, it’s kind of funny,” he said. “I think
it’s funny when people create something mythical, if it’s done tongue
in cheek. It sounds to me like a hustle.”Dres, a member of the
group Black Sheep, appreciates the exposure he has received from his
track on “Top Shelf,” “I’m the One.” When asked how he became involved
with the project, he said that Mr. Grinberg gave him a track and asked
him to participate. “I put a lot of energy into it, and
reminiscing about back in the day,” he said. So it is a hoax? Yes, he
said. “At the end of the day, anybody really listening to it — you
know, it ain’t that hard to tell,” he said.
Afrika
Baby Bam of the Jungle Brothers, who contributed the track “Back in the
Jungle,” which he said was recorded in 2003, dismissed concerns about
the authenticity of the project. “We still remember the culture and
tradition,” he said. “How much more do you need, outside of the actual
date, to make a record as authentic as you would have made on Aug. 8,
1988?”
When asked to comment on these debunkings, Mr. Grinberg
speculated that some of the artists might have gotten confused during
the “re-production of the songs,” which he said involved cleaning up
the old tracks. He added that he was “not out to convince anyone of
anything,” and suggested that the album’s ultimate aim was to correct
the misdeeds done to these oft-forgotten artists who “didn’t get the
same amount of money or accolades that rappers today get.”
Fab Five Freddy was vague. “The real story is the music,” he wrote. When
the album is released in the United States, Mr. Grinberg may have some
bigger headaches than skeptical bloggers. Special Ed said that he had
no idea how his song “This Mic” found its way onto “Top Shelf,” and
that the track was a sped-up version of a song that he recorded in the
late 1990s. “I never heard of Top Shelf Studios,” he said. “This is news to me.”

Les Sex Pistols avaient prévus une seule date au Brixton Academy pour fêter leur 30ème anniversaire, en 10 minutes le concert a été sold-out, du coup ils ont bookés les 2 jours suivants en dates supplémentaires, en n'oubliant pas de relever le prix des places à ... 170$ l'unité ...

Yeah! No futur qu'ils disaient ...

Gyn a écrit:

Yeah! No futur qu'ils disaient ...

Ouais, no futur quand on est pauvre, mais sinon...

Clair que les sex pistols ne sont de loin pas le groupe de punk le plus politisé qui soit...

Ils en avaient juste rien à foutre de tout, et quand ils se sont rendus compte qu'ils se sont fait entuber par McLaren et qu'ils pouvaient gagner plein de pognon en continuant d'insulter tout le monde...

Au moins ils sont honnêtes, ils le disent eux-même à peu près de cette façon.


le vrai groupe punk subversif pour moi c'est CRASS...

Citation :

DOOM RESPONDS TO RUMORS
Every day for the past month we've been hit up by people wanting explanations, statements, clarifications, and declarations about MF DOOM. Is he lip synching? (No. Listen to the videos on Youtube.) Is he an impostor? (No, but he did lose some pounds.) Is he in the hospital? (No, he's in his studio ... or if not there, you can find him in the pub with the grub stain.)

Reached earlier this morning at his home in Georgia, an alive and well MF DOOM issued this statement: "What up? I'm dead."

DOOM was in Los Angeles recently and recorded a few verses at The Bomb Shelter studio, where Madvillain, Quasimoto, YNQ, and Madlib classics have been made. Among the new joints recorded was one with him and Guilty Simpson over J Dilla's "Mash" and another over Dilla's "Lightworks". "Mash's Revenge" will be released on the album "B-Ball Zombie War" on October 2. Take a listen:
+ www.myspace.com/mfdoom

stonesthrow newsletter

ouais ouais ça pue du sac son histoire là

trop.

Citation :

Pascal Auberson à contretemps



MUSIQUE. Retour intense à la chanson pour l'artiste-caméléon avec «Kelomès». Disque et futur spectacle à la bande-son électro-pop, où la voix d'«Ophélie» a laissé tomber les manières lyriques.

«Ne vous sentez-vous pas nomade/ Par nature profonde?/ Ne vous sentez-vous pas sédentaire/Par obligation?» Kelomès débute par une interpellation. Une chanson de portée universelle qui sonde l'âme humaine et que Pascal Auberson a nommée «La maison sur le dos». «Renouveau», dit l'épilogue versifié comme on annonce un changement d'état d'esprit. Artiste caméléon, passé des percussions à la composition, de la chanson à la danse, du cinéma au théâtre, du big band au piano, du tuba à l'improvisation sans borne depuis son entrée en scène au mitan des années 70, Pascal Auberson trimballe aujourd'hui les fondations de Kelomès avec un ton neuf.



Dans un parlé-chanté à contretemps de ses interprétations antérieures, il y taille ses scansions sur des bandes-son electro-pop subtilement claudiquantes qui lui laissent du champ. «Pierre Audétat et Christophe Calpini m'ont obligé à gommer mes scories, à être plutôt expressif que romantique.» Calpini (Mobile in Motion, arrangements pour Bashung) partage avec Audétat la destinée de Stade, projet en forme de work in progress qui infuse autant de jazz que de hip-hop et d'electro dans ses matrices sonores. Les deux musiciens romands étaient déjà les complices d'Auberson dans son exercice estival d'immédiateté et de réactivité suscité par L'Hebdo pour l'enregistrement hebdomadaire d'une chanson sur un thème d'actualité (LTdu 05.07.07). Cette fois, ils lui ont improvisé sur Kelomès de redoutables et obsédantes trames atmosphériques. Avec des circonflexes free-jazz, pop, robotiques, hantés, martiaux, doux ou crissants dans leur vocabulaire.



Aux oubliettes donc le lyrisme, le chant maniéré parfois pompeux dans lequel la voix d'«Ophélie», «L'Paradis» ou «Jamaïca» avait fini par trop s'enferrer. «Monsieur, j'aime beaucoup ce que vous dites, mais vous ne pourriez pas le chanter plus simplement!»: Pascal Auberson aime aussi à rappeler la remarque d'un jeune assistant preneur de son comme exemple de l'un des déclics ressentis pour cet enregistrement qui deviendra spectacle sur la scène de Vidy à la mi-octobre.



Aussi libre que le «Max» de Le Forestier, Auberson papillonne désormais sur Kelomès d'un timbre aussi sûr qu'appuyé et articulé. «Il sait doser son effort», dirait ce tube de la chanson française. En bouche, ce répertoire guérisseur de symptômes vocaux conserve toutefois d'autres racines. Deux titres rendent ainsi hommage à des figures de la chanson. «Gilles est un ange» et «Hello Léo» sont d'élégants exercices de style revisitant les maîtres mots entonnés du «père» de la chanson romande et du poète anar Ferré. Manière de souligner l'obsession de la filiation habitant Auberson depuis qu'il a frôlé la Faucheuse en raison d'un cancer. «Sans enracinement, on ne peut s'élever», se plaît-il à relever. Des traces de passé qui n'ont rien à voir avec de la nostalgie dans le cas présent. Kelomès ne procède d'ailleurs que par allers-retours. Avec des mots-passerelles, des histoires existentielles, des regards sans œillères sur le monde contemporain.



«Spectacle Off» et «Omnubilé» («Homme nu/Obnubilé») jouent des sonorités de la langue et des mots tout en permettant de relativiser nos conditions humaines. Inflexions gainsbouriennes («Mais quel homme est-ce?»), mais aussi souffle logique du modèle Nougaro («Le jour de mes nuits») reviennent parfois au galop comme de bien beaux défauts. Tandis que «La lumière est si belle» philosophe, entre Ulysse et surmoi, vie et trépas, patrie et déracinement, amour et haine. Et que le volontarisme clairvoyant d'«Y a pas d'âge» abolit définitivement les frontières entre générations.



Certes cérébral dans la majorité de ses thématiques, Kelomès regorge d'émotions et de fraîcheur. Echafaudé musicalement «comme un Lego» improvisé, cet album aux mille et un recoins sonores peut aussi s'entendre et se lire comme un autoportrait chinois de Pascal Auberson. En quête d'essentiel, le chanteur y rejoint peut-être enfin l'homme. Plus libre que jamais.

Edith: quoi qu'on fasse, cet article est illisible.

images, gras, etc...