le topic du futchbol

"Je sais qu'à 33 ans lorsqu'on rate une saison le club commence à regarder d'éventuelles ofres. Nous verrons en juin, je trouverai une solution."

Fabio Cannavaro, dans une interview accordée à la Gazzetta.

mais c'est ca, vas-y, casse-toi!

derby seville-betis

Citation :

« Je suis encore sous le choc et j'essaye de m'en remettre. Le match était chaud mais jamais je n'aurais pu imaginer qu'une telle chose puisse arriver. Je ne me rappelle de rien après l'impact ni de ce qui s'est passé sur le terrain, seulement jusqu'à la mi-temps. (...) Je n'ai rien à pardonner. J'accepterai ce que décidera le (Comité de compétition de la Fédération espagnole). Après quelque chose d'aussi grave, il faut prendre des mesures sérieuses. »

Juande Ramos, entraîneur du FC Séville, s'exprime sur les ondes de la Cadena Ser, après avoir reçu une bouteille d'eau en plastique sur la caboche et être sorti inconscient du pré lors du quart de final retour de Coupe d'Espagne contre le Bétis...

faudra que les espagnols arretent de faire les malins quand y se passe une couille en italie et appliquent des mesures drastiques eux aussi.



sinon 2la je pourrai redire la vérité sur cannavaro quand il sera plus au real??

faudra que tu m'expliques ou et quand les espagnols ont fait les malins?
sinon vas-y, partage ta Vérité avec nous sur cannavaro.

non j'ai juste dit que c'était le joueur le plus overrated de l'histoire du football et tu m'as dit je sais plus quoi mais que je disais n'importe quoi en gros.

c'est le journaliste de la rason (prononcer rrrrrrrrrassssssssssson) qui présente l'espagne a l'équipe du dimache de canal+ qui présentait la revue de presse et qui laissait entendre que ce genre de problème n'arriverait pas en espagne.

j'espere que vous n'avez pas raté le clasico de ce week-end.


http://marca.com/edicion/marca/futbol/1a_division/goles/es/desarrollo/748488.html


FC Barcelona: Valdés; Oleguer, Puyol, Thuram, Márquez (Gudjohnsen, m.81), Deco (Belletti, m.71), Xavi, Iniesta, Messi, Ronaldinho y Eto'o (Sylvinho, m.46).

Real Madrid: Casillas; Salgado, Sergio Ramos, Helguera, Torres, Gago, Diarra, Raúl (Robinho, m.61), Guti (de la Red, m.82), Higuaín y Ruud Van Nistelrooy.

Goles: 0-1, m.5: van Nistelrooy. 1-1, m.11: Messi. 1-2, m.13: van Nistelrooy, de penalti. 2-2, m.28: Messi. 2-3, m.73: Sergio Ramos. 3-3, m.90+1: Messi.


MATCH DE L'ANNEE.

ouais c'était foufoufou. j'aurais pas raté ça pour un million de pesetas.

mais y a penalty sur ronny à la fin. désolé. penalty. si y a pas faute là y a jamais faute.

je viens de regarder a nouveau l'action et c'est clair que diarra joue la puissance, mais j'ai plutot l'impression que ronaldinho le cherche, le penalty (fin du match, penalty en faveur de madrid,...)

ouais mais bon les faits sont là: ronny va tout droit comme ça ----- et tout à coup bam et il va comme ça l mais sauf qu'il vole.
péneau.

c'est sûr que la, l'explication des petits traits a fini par disséminer tous mes doutes. ^^

non, mais il se jette, j'aurais pas sifflé.

ah ouais il se jette ben on verra toi si tu te jettes pas de la même manière quand tu te prendra le tgv diarra à pleine vitesse dans la race.

et gusano si tu lis pas besoin de faire de blague diarra diarrée.

il aurait pu amortir avec son nouveau bidon. ^^

28/03 Grp D Czech Republic 1-0 Cyprus
28/03 Grp G Bulgaria 0-0 Albania
28/03 Grp C Hungary 2-0 Moldova
28/03 Grp B Ukraine 1-0 Lithuania
28/03 Grp G Romania 3-0 Luxembourg
28/03 Grp E Israel 4-0 Estonia
28/03 Grp D Republic of Ireland 1-0 Slovakia
28/03 Grp F Liechtenstein 1-0 Latvia
28/03 Grp C Malta 0-1 Greece
28/03 Grp F Northern Ireland 2-1 Sweden
28/03 Grp D Wales 3-0 San Marino
28/03 Grp B Georgia 3-1 Faroe Islands
28/03 Grp C Turkey 2-2 Norway
28/03 Grp A Azerbaijan 1-0 Finland
28/03 Grp A Poland 1-0 Armenia
28/03 Grp A Serbia 1-1 Portugal
28/03 Grp G Slovenia 0-1 Netherlands
28/03 Grp B Italy 2-0 Scotland
28/03 Grp E Andorra 0-3 England
28/03 Grp F Spain 1-0 Iceland

putain je l'avais vu hier soir, rien à dire, ca fout la chair de poule,
MESSIDONA

REAL MADRID - VALENCIA 2-1
1-0 Van Nistelrooy
(et en prime les plus beaux buts de la journée d'hier)

Saviola tout proche du Real Madrid
26/04/2007 - 10 h 55 - Etienne MANIERE


Javier Saviola qui termine son contrat avec Barcelone en juin prochain, serait tout proche de rejoindre le Real Madrid.
Selon Marca, son agent a conclu un accord de principe avec les dirigeants merengue pour revetir de blanc son protégé dès cet été.


L’Argentin a connu une période peu faste se faisant balader pendant 3 ans. Il a en effet connu 3 clubs différents en 3 saisons : Barcelone, Monaco et le FC Seville, avant de finalement retrouver le Camp Nou. Auteur cette année de probantes performances, le jeune joueur de 25 ans qui a encore toute sa carrière devant lui, pourrait trouver dans les rangs du Real une formidable opportunité de laisser éclater son talent... A moins que la concurrence ne le bride encore.

On retrouve en effet dans un rôle qui pourrait être le sien la perle brésilienne Robinho, mais aussi l’ex-futur français Higuain, le capitaine Raul, et les fantômes Reyes et Cassano, sans compter Guti, capable aussi de jouer devant. Mais le Real pourrait laisser partir plusieurs de ces joueurs.

Si le Real parvient à terminer en trombe le championnat, voire même à le remporter, les dirigeants madrilènes pourraient se sentir pousser des ailes pour le prochain mercato. Après Saviola, Fabregas pourrait être la prochaine recrue surprise de Bernabeu.

source: footmercato.net

Citation :

Joey Barton a encore fait des siennes

Le milieu de Manchester City, Joey Barton, a fait «honneur» à sa réputation de «mauvais garçon». Il s’est battu avec son coé­quipier Ousmane Dabo et a été suspendu par son club. Dabo a dû être con­duit à l’hôpital pour des contusions au visage. L’in­cident sanctionne l’échec de la thérapie suivie par Barton pour tenter de ca­naliser ses sautes d’hu­meur.
Début mars, il avait été arrêté, étant soupçonné d’avoir agressé un chauf­feur de taxi à Liverpool. En 2005, lors d’une soirée, il avait écrasé un cigare allumé dans l’oeil d’un coéquipier. Il a ensuite été renvoyé d’une tournée en Thaïlande pour avoir par­ticipé à une bagarre dans un bar nocturne. Cette saison, il avait baissé son short et montré son pos­térieur au public d’Ever­ton qui avait moqué son frère, lequel purge une longue peine de prison pour le meurtre raciste, à coups de hache, d’un jeune noir. La semaine dernière, il avait critiqué plusieurs de ses coéqui­piers pour la saison mé­diocre de son équipe ● spi

sympa la famille Barton

dabo a déposé plainte, barton est suspendu jusqu'a la fin de la saison et mis sur la liste des transferts. il s'est tiré au portugal.

ah oui ok, bien amoché !

AVANT-DERNIERE JOURNEE DE LIGA

Statu quo en tête de la Liga. Les trois équipes de tête ont chacune été accrochées. Le Real Madrid à Saragosse (2-2), le FC Barcelone par l'Espanyol (2-2) et le FC Séville à Majorque (0-0).

Les joueurs de Fabio Capello restent maîtres de leur destin avant l'ultime journée.
Lionel Messi, auteur d'un nouveau but «maradonesque», mais insuffisant.



Van Nistelrooy répond à Messi
Incroyable scénario offert par cette avant-dernière journée de Liga. Si le titre se jouera bel et bien le 17 juin prochain pour un dernier acte qui s'annonce déjà palpitant, Madrilènes et Barcelonais se sont livrés une véritable bataille à distance dans cette course à la première place. Tour à tour, les deux formations ont cru s'être définitivement octroyé le fauteuil de leader. Barcelone d'abord, qui, après avoir été rapidement mené au score dans le derby catalan face à l'Espanyol (2-2), a su réagir par deux fois grâce à l'intenable Messi. Il y a un peu plus d'un mois, le prodige argentin inscrivait un but qualifié de «maradonesque» en demi finale aller de la Coupe d'Espagne face à Getafe (5-2). Il a récidivé, mais d'une toute autre manière. Son but égalisateur de la main va une nouvelle fois alimenter les comparaisons avec l'ancienne gloire du football argentin. S'il rappelle étrangement dans sa réalisation celui marqué par le «Dieu» Maradona en quart de finale de la Coupe du monde 1986 face à l'Angleterre (2-1), il sera cependant insuffisant pour permettre aux Blaugrana d'être maîtres de leur destin avant un dernier déplacement chez le dernier, le Nastic Tarragona. Rejoints au score en toute fin de rencontre (but de Tamudo à la 88e), les joueurs de Frank Rijkaard restent deuxièmes au classement à la faveur du résultat des confrontations directes (2-0 à Madrid, 3-3 à Barcelone).




De quoi laisser quelques regrets aux amis de Lilian Thuram puisque dans le même temps, le Real Madrid a été contraint de partager les points sur la pelouse du Real Saragosse (2-2). Menés à la marque à deux reprises, les partenaires de David Beckham, titularisé malgré une cheville gauche douloureuse, reviennent de loin. Ils doivent leur salut à leur buteur numéro 1 Ruud van Nistelrooy, auteur d'un doublé. En égalisant en toute fin de rencontre (89e), l'international néerlandais permet au club merengue de continuer de rêver d'un trentième sacre en Liga, le premier depuis 2003. A Séville, le club de Julien Escudé est toujours en course pour un triplé, mais son nul sur la pelouse du Real Majorque (0-0) lui laisse peu d'espoirs. Pour s'emparer du fauteuil de leader, le récent vainqueur de la Coupe de l'UEFA, qui disputera la finale de la Coupe du roi le 23 juin prochain contre Getafe, devra l'emporter face à Villarreal et espérer dans le même temps la défaite de ses deux concurrents.







Source: lequipe.fr



J'ai regardé les deux matchs en même temps c'était completement fou.

t'as maté le multiplex de canal+ ?

j'avais le sourire jusqu'a la 89ème.

non, au multiécrans du centre espagnol,
ahah moi c'est jusqu'à la 89e que je tirais la gueule, la dernière journée va être folle.

Encore un titre majeur pour Capello !
lundi 18 juin 2007

Le Real vient de remporter son trentième titre d’Espagne ; à sa tête, dix ans après nous avoir fait le même coup, il Mister : Veni Vidi Vici, mais non sans heurts...

Début de saison, le Real est à la ramasse : ca joue pas ou mal, ca tient pas un match et ca se fait posteriser par John Carew. Glauque. Pourtant, à mi-parcours, seulement deux points séparent l’affligeant jeu madrilène de son homologue barcelonais, qui, lui, affole l’Europe entière. Ou le premier effet Capello.


Passent les fêtes. Le club achète à grands frais deux prometteurs Argentins (Gago, Higuain), le coach se déleste d’un Brésilien (« Tu es gros, tu devrais avoir honte », du Capello dans le texte). Ronaldo est blacklisté, Beckham idem. Emerson de son côté, en bon sosie bronzé et approximatif de Jean-François Copé, sévit sur tous les fronts : contrôles ratés, fautes de débutant, trous défensifs. Le Real est alors en pleine deliquescence. La maison blanche est plus que branlante et l’humanisme bavarois d’en rajouter une couche de Van Bommel. Fabio est isolé et tendu, comme son majeur. Après quatre saisons sans titre, la disette semble devoir perdurer...


Et pourtant...

Coup d’envoi de la dernière journée de la Liga dimanche 17 juin. 21 heures. Stade Santiago Bernabeu. Un arbitre surgominé, trois points à prendre contre Majorque, titre en ligne de mire. Casillas - Salgado Ramos Cannaverrou Carlos - Victoria Diarra Emerson Robinho - Ruud Raul. Plan limpide, on ecarte : à gauche pour Robinho et ses dribbles courts mais stériles, à droite pour Becks et son jeu long. But du jeu, trouver Ruud 16 buts en 15 matchs, moins piquet qu’il n’y parait. Si besoin Raul vient relayer en neuf et demi, les latéraux montent et alors on joue au hand. Plus que jouable. Evidemment, cela part mal : après moins d’une minute, alerte rouge, poteau. 17ème : c’est la merde, Majorque ouvre le score, profitant de l’éternel espace post montée Roberto Carlosienne infructueuse. Le Real est alors pathétique : amorphe, en manque d’imagination, passif. 21ème : big bisous depuis Barcelone, but de Puyol. Puis de Messi, puis de Ronnie...etc.. Cerise sur le flamby, Ruud est entretemps sorti pour blessure.

Mi-temps. Capello hurle un bon coup, remet en place ses lunettes et sort Guti de son chapeau pour remplacer Emerson. On y croit pas trop. Pour son dernier ballon madrilène, avant de sortir ovationné par le stade, Beckham caresse l’équerre, tout un symbole. Reyes le remplace et score sur son premier contact avec le cuir. Coaching gagnant ? Tête de Diarra, brossé de Reyes. Deux passes décisives d’Higuain, et deux buts de Reyes, remplacants forcés de Ruud et David Beckham. Coaching gagnant ? Qu’importe, coach gagnant : le Real est champion d’Espagne. Ironie du sort, le Barça, qui finit avec la meilleure attaque et la meilleure défense, voit le titre lui filer sous le nez. Capello a réussi son pari. Un tour de passe-passe typiquement transalpin. Ou le deuxième effet...

En commencant par ne jamais désespérer, en insufflant à sa formation un mental féroce. En faisant littéralement jeu égal avec le Barca lors du dernier classico. En sachant redonner, avec le départ de Ronaldo, confiance à Van Nistelrooy, artisan numéro un du titre, dans un rôle de pivot du jeu madrilène, avec l’explosif Sergio Ramos. En réintégrant Beckham, ou le retour en grâce de l’ange blond. (« Les gens intelligents sont capables de rectifier leurs erreurs, ainsi que de reconnaître avoir dit ou fait quelque chose d’incorrect »)

En, forcément, gagnant moults rencontres un à zéro, à l’italienne comme le voudrait le cliché, à coups de buts dans les arrêts de jeu, de remontées tardives, voire plus si affinités. En fixant Raul et Robinho à un poste bien précis, histoire de leur permettre de se retrouver. En se concentrant sur l’essentiel, sans se soucier de la manière, des qu’en dira-t-on. En faisant rentrer Reyes pourtant fantomatique cette saison.


Et pourtant...

La question de l’avenir de Fabio se pose toujours. Calderon ne l’aurait pas démis de ses fonctions plus tôt uniquement parce qu’une clause du contrat aurait assuré à l’Italien de partir surblindé en cas d’éviction prématurée. Capello vient de gagner le titre, mais ne serait toutefois pas encore assuré de la confiance présidentielle, le Real n’en étant plus à une contradiction près : « Que le coach reste ne dépend pas uniquement de la victoire en Liga. Le coach restera si l’on estime qu’il est à sa place, Liga gagnée ou non. »


Quoiqu’en pense Calderon, le meilleur entraineur du monde devrait rester celui de la maison blanche. Et pas uniquement parce que tous les autres postes susceptibles de l’intéresser sont déjà pourvus...


Simon Capelli-Welter
sofoot.com

CAMPEOOONES, CAMPEOOOOOOOONES

REAL MADRID - MALLORQUE

tom "le nain" cruise dans les gradins pour voir le dernier match de son pote beckhy, AHAH