Le bouquin que tu lis en ce moment

Je sais pas si j'ai mal vu, mais y'a pas de topic sur les livres qu'on lit...


Alors pour ma part, je viens de finir ça



De ses début à NY à maintenant au sommet du monde, il montre à quel point Madonna est une hystérique, manipulatrice, tellement gerse, même avec sa propre famille... Enfin bon, c'est pas une surprise, mais c'est toujours barge...

En ce moment celui-ci



C'est super vite lu, c'est l'histoire d'un petit garçon malade qui devient pote avec une vieille dame qui lui rend visite (une ancienne catcheuse!) Il se met à écrire des lettres à Dieu.

C'est drôle, touchant à souhait....

Et le prochain, ça va être lui



Ouala !

J'crois que Scoo avait tenté de lancer un sujet, moi aussi, mais le nombre de réponse dépasse rarement 2

Moi j'ai relu ça :




et la suite :




C'est deux mômes, soeur et frère, échoués sur une ile où les mots sont vivants.
C'est plein de poésie et de tendresse

De toute manière Orsenna c'est bien.

Y'a aussi Deux étés et Longtemps et Dernières nouvelles des oiseaux que je recommande

On retrouve toujours le même amour et le même jeu avec la langue française et la tendresse et des personnages hauts en couleur

Commencé ceci :

Superbe, bon choix

jamais eu le courage de me lancer dans un gros tome du style
mais jsuis sûre que ça doit être bien à lire, c'est moyen mon kiff

j'ai essayé 100x de lire ça par curiosité, mais j'arrive pas

chikita a écrit:

j'ai essayé 100x de lire ça par curiosité, mais j'arrive pas

idem. Impossible de le finir.


Sinon en ce moment je lis deux bouquins:


La suite des aventures d'Octave qui se retrouve en Russie comme chasseur de mannequin. C'est drôle et méchant.


Jim Harrison parle de sa passion, la bouffe. Certain chapitre donne vraiment faim...

un amour à mes motards criminalisés

j'ai une quinzaine de bouquins en attente (dont celui ci-dessus), le problème c'est que je lis pas.

sinon je l'ai lu là le maître du haut château, assez vite en plus il me semble. il défonce. putain les allemands et les japs qui ont gagné la guerre, ça bute.

faut que je me remette à lire bordel.

plexus a écrit:

sinon je l'ai lu là le maître du haut château, assez vite en plus il me semble. il défonce.

Frimeur


Plus sérieusement l'histoire en elle-même est cool mais je sais pas pourquoi, impossible de crocher.

Mr.Miam a écrit:

plexus a écrit:

sinon je l'ai lu là le maître du haut château, assez vite en plus il me semble. il défonce.

Frimeur

Plus sérieusement l'histoire en elle-même est cool mais je sais pas pourquoi, impossible de crocher.

mais telllllement !

Maintenant quand je le regarde dans ma biblio, il me nargue le ptit salaud

Jacques Daniel a écrit:

T'as lu celui -ci? :

'tain mais on lit tous la même chose ?

Au secours pardon j'ai bien aimé aussi

Le maître du Haut Château c'est achtement bien foutu, histoirement parlant.
Par contre, c'est vraiment que le style est... daté ? désuet ? démodé ?
Comme les autres bouquins de Dick d'ailleurs.
Pourtant, dieu sait que les histoires sont bonnes.

Chuis sûre qu'une nouvelle traduction pourrait améliorer la chose.

Sinon, j'ai entamé y'a des mois:



que j'avais lu en français y'a longtemps.
Mais là c'est tellement prenant que j'arrive pas à trouver le temps de déconnecter pour me plonger dedans

Et J'ai les 7 tomes de la Tour Sombre de Stephen King qui m'attendent aussi...

ouai, disons que j'ai pas parlé des Beigbeder et des Nothomb, parce qu'on les a tous, tous lu !

Gyn a écrit:

T'as lu celui -ci? :

non, c'est bien?
à la base je lis l'autre parce que c'est écrit par thompson, mais le sujet défonce alors pourquoi pas.

C'est pas mal du tout

Jacques Daniel a écrit:

non, c'est bien?
à la base je lis l'autre parce que c'est écrit par thompson, mais le sujet défonce alors pourquoi pas.

C'est la biographie de Sonny Barger, ouais c'est cool, la taule, la came, le début des Hell's, les codes etc ... T'as des moments drôle, d'autres franchement tragiques, M. Barger est temps en temps d'une mauvaise foi absolue (les insignes nazies typiques des 70's sur le blouson des Hell's; c'est lui ...), en gros moi qui ne suis pas du tout dans le trip moto-harley-machin je me suis laissé embarquer dans l'histoire, la lecture étant très facile ...

Pour la petite histoire on y apprend que le premier chapitre officiel des Hell's Angels se trouvant à l'extérieur des States fut autorisé et attribué ... en Suisse.

je le lis depuis le mois d'août, j'ai de la peine à finir le dernier chapitre qui me paraît un peu moins intéressant, néanmoins je vous le conseille vivement.


et du coup y en a plusieurs entamés mais en stand by:



je l'avais commencé peu de temps après la sortie de American Gangster, étant tombée dessus par "hasard" chez payote. Si vous aimez New York, la came, les 60's-70's, c'est pour vous.



et puis çuilà, que j'ai commencé cet été, qui m'a vite saoulé et que du coup, je n'ai pas fini. Je crois que Nothomb, j'ai fait le tour. Néanmoins, je tenterai de le finir vu que ça se lit (trop) vite

je l'ai lu là le gil scott-heron, il défonce!

ouais y m reste une cinquantaine de pages à lire. c'est cool, c'est sombre. j'étais surprise d'apprendre qu'il avait écrit avant de faire de la musique. du coup, faudra que je lise ses poèmes à l'occasion aussi.

du coup je me suis remotivé à lire et j'ai commencé hier ça



j'ai lu ses 3 ouvrages précédents qui tous racontent plus ou moins sa vie de déliquant, de prisonnier et les difficultés à se réinsérer. ils sont assez largement autobiographiques, sans toutefois l'être complètement je crois. celui-ci par contre semble bel et bien l'être (j'ai lu 5 pages).

bio

Citation :

Le crime, ce type connaît. Et la prison forcément : au total, 18 ans au compteur. De quoi remplir des pages et des pages. Ce que fit Edward Bunker, sauvé comme par miracle par les livres et l’écriture.

Le bonhomme est né le 31 décembre 1933 à Hollywood. Sa mère est danseuse dans des comédies musicales, son père régisseur de cinéma. Mais très vite, le couple ne s’entend pas. Il divorce. Edward n’a que 5 ans. Il est placé dans une famille d’accueil. Commencent les 400 coups. De foyers en maisons de redressement en passant par l’hôpital psychiatrique à 11 ans, Edward est cassé. A 14 ans, il braque un débit de boisson.

Envoyé en prison pour mineur, il est encore trop jeune pour fréquenter le pénitencier de San Quentin. Pas pour longtemps. Dehors, il multiplie les mauvais coups. En 1951, à 17 ans, il débarque à San Quentin pour 5 ans. C’est là qu’il se réfugie dans les livres. Il en dévore 5 par semaine. Et il écrit ses premières nouvelles.

Libéré sous conditionnelle en 1956, il reprend le chemin du crime : extorsion de fonds, cambriolages, faux chèques. Il retombe en 1960 et en prend pour 14 ans maximum. Il en purge 7. Il écrit quatre romans et de nombreuses nouvelles, vend son sang pour obtenir de l’argent et envoyer ses manuscrits aux éditeurs. En vain. Il ressort à 34 ans.

Il souhaite enfin se ranger mais toutes les portes se ferment. Il retombe encore pour un cambriolage. Il finit par atterrir dans la centrale de haute sécurité de Marion, dans l’Illinois. Une des plus effrayante du pays. C’est là qu’il rédige son premier roman publié en 1973 : Aucune bête aussi féroce. Il publie également des articles sur les conditions de vie carcérale dans les magazines Harpers et The Nation. Sa notoriété augmente. En 1975, il est libéré.

Deux événements lui permettent de sortir définitivement du trou. L’adaptation en 1978 de son premier roman (Aucune bête aussi féroce / Le récidiviste) avec Dustin Hoffman, et son mariage en 1979 avec une jeune assistante sociale rencontrée en cours de réinsertion.

En 1981, son troisième roman (La bête au ventre) ne connaît qu’un succès d’estime. Il se tourne alors vers Hollywood. Il co-écrit le scénario de Runaway Train de Konchalovsky (1985, nommé aux Oscars), joue un petit rôle dans Tango et Cash (1988), le Mister Blue du célèbre Reservoir Dogs de Quentin Tarantino. C’est son succès en Europe qui relance sa carrière littéraire.

Après 15 ans de silence, il sort Les hommes de proie en 1996. L’adaptation par l’acteur Steve Buscemi de son deuxième roman (Animal Factory, très mal distribué en France) complète le tableau. Edward Bunker passe les dernières années de sa vie à L.A. avec sa femme Jennifer et son fils (né en 1994). Il décède à 71 ans le 19 juillet 2005 dans un hôpital de Burbank Californie.

biblio

Citation :

1991 : Aucune bête aussi féroce (No beast so fierce, 1973), Éditions Rivages, introduction de William Styron et postface de James Ellroy, adapté au cinéma par Ulu Grosbard sous le titre Le récidiviste (Straight time) en 1978
1992 : la Bête contre les murs (Animal Factory, 1977), Éditions Rivages adapté au cinéma par Steve Buscemi sous le titre Animal Factory
1993 : la Bête au ventre (Little boy blue, 1980), Éditions Rivages
1997 : les Hommes de proie (Dog eat dog, 1994), Éditions Rivages, préface de William Styron
2001 : l'Éducation d'un malfrat, Éditions Rivages
2008 : Stark (février 2008), Editions Rivages/Thriller, Préface de James Ellroy

les éditions rivages c'est des briques de cocaïne. et éditions de l'olivier aussi pour les trucs un peu ghetto.

plexus a écrit:

les éditions rivages c'est des briques de cocaïne.

tout juste, auguste.

un petit entre deux, vite lu, trop cool, ça donne super envie !